J’approfondis le travail sur l’œuvre d'Erik Satie.
En début de mois j'attaque le déchiffrage des deux premières pièces des Menus propos enfantins et je continue à pratiquer les trois pièces des Enfantillages pittoresques.
Au cours du mois, je revois la mise en forme et l'impression des 6 partitions (publiées sur mon compte Musescore) afin d'améliorer la lecture lorsque la partition dépasse 2 pages. Plutôt que de tourner la page je préfère assembler les feuilles en accordéons afin de déplier les 4 pages de la Marche Du Grand Escalier sur le pupitre. Puis je met en forme et publie les partitions du troisième recueil : les Peccadilles importunes.
En fin de mois, je suis toujours sur la pratique des 5 même pièces. Je sens que je dois franchir un pallier concernant la lecture et la mémorisation des partitions. La mémoire du geste n'est pas suffisante, il me faut être capable de mémoriser les mélodies et de trouver les points d'accroches entre les deux mains. L'écriture en contre-point est exigeante.
En dernière semaine, je reprend à zéro les exercices de solfège et de rythme proposés dans “Le pîano en 15 minutes par jour pour les nuls”.
Il me semble avoir franchis un cap important cet été, j'ai compris l’intérêt d'une pratique lente, voir méditative du piano, l'assimilation des bases musicales et pianistique me semble plus naturelle, elle se fait au rythme de mon corps.